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Pete Sampras
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Michael Chang
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Pete Sampras
 
Michael Chang
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175cm
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Andreeva, tout en sincérité : "Pour le moment, j'ai même oublié le score" Mirra Andreeva a fait preuve d'une maturité impressionnante pour sortir vainqueure du gros combat, mental et physique, qui l'a opposée à Aryna Sabalenka en quarts de finale de Roland-Garros (6-7, 6-4, 6-4). Affichant un calme à toute épreuve, la Russe de 17 ans est parvenue à mieux négocier les moments clés que la n°2 mondiale à la fin du match. Pour le plus grand bonheur du public de Court Philippe Chartier, enthousiasmé par le niveau de jeu de la teenager. Mirra Andreeva : "Honnêtement, pour le moment, j'ai même oublié quel était le score. Parce que j'ai vraiment essayé de ne pas me focaliser sur ça. Sur ma deuxième balle de match, j'ai essayé de penser que j'étais en train de sauver une balle de break. J'ai essayé de jouer de façon brave et j'ai réussi à gagner. J'étais vraiment très nerveuse avant le match. Je savais qu'elle allait avoir un avantage, particulièrement par rapport au soutien du public du court. Mais en fait, j'ai été un peu surprise, car vous (les spectateurs) m'avez aussi encouragée (rires). Honnêtement, je ne m'attendais pas à ça, donc merci beaucoup de m'avoir encouragée aujourd'hui."
Sinner, l’heureux numéro 1 mondial : “ Mon corps semble de plus en plus fort” C’est sourire aux lèvres que Jannik Sinner a appris, à la fin de son quart de finale largement dominé face à Grigor Dimitrov (6-2, 6-4, 7-6), qu’il sera, lundi, le nouveau numéro 1 mondial. Après une belle ovation du public français et la levée de quelques drapeaux italiens, il a expliqué : “ Je suis très heureux de cette réussite. C'est beaucoup de travail que nous faisons chaque jour. C'est une routine quotidienne. Je suis évidemment heureux d'avoir atteint ce classement.”. C’est une fierté pour lui, mais aussi pour l’Italie. En effet, ce Roland-Garros a été l’occasion de donner plus de visibilité à la montée en puissance des jeunes joueurs italiens. Si Jannik Sinner reste le porte-drapeau légitime, il ne veut pas faire d’ombre à ses compatriotes dont on a vanté la fougue : Musetti, Arnaldi, Sonego, Paolini ou encore Cocciaretto.  Quoi qu’il en soit, pour la première fois de l’histoire du tennis, le numéro 1 mondial est un joueur italien et cela semble parti pour durer : “ Je pense que c'est une bonne chose pour l'Italie. Nous sommes un grand pays avec de grands entraîneurs et de grands joueurs. Je suis heureux de faire partie de ce mouvement italien. Les gens commencent à jouer au tennis de plus en plus, ce qui est formidable. Je pense que c'est le plus important. Tout le monde fait de son mieux.”  Aussi ambitieux que patriote, Sinner explique : “ Nous avons beaucoup de tournois. Nous avons des tournois juniors, des Futures et des Challengers, et nous avons de grands tournois, des tournois ATP, des finales ATP à Turin et à Rome, et nous avons eu le Next Gen à Milan. Je pense que l'Italie le mérite parce que c'est un grand pays.”.  N’ayant concédé qu’un set depuis le début du Grand Chelem (face à Moutet en huitièmes), l’Italien fait figure de favori pour le titre. Pourtant, ce n’était pas écrit. Blessé à Madrid, il est arrivé à Paris en manque de rythme. À présent, il semble remis et surtout confiant : “Je suis arrivé ici avec quelques doutes, des doutes physiques, et mon corps semble de plus en plus fort jour après jour, ce qui était pour moi l'objectif principal en venant ici.”. Même si la terre battue n’est pas sa surface de prédilection, le Transalpin avance sûrement vers la demi-finale de vendredi qui l’opposera à un joueur plus habitué à jouer sur terre battue, Carlos Alcaraz : “ C’est une surface où j'ai parfois beaucoup de mal, surtout au début. Nous l'avons vu ces dernières années. Je suis encore plus heureux d'être en demi-finale.
Andreeva, 17 ans, sort Sabalenka à Roland Garros ! Mirra Andreeva vient de réaliser l'exploit de la quinzaine à Roland-Garros en battant Aryna Sabalenka pour se qualifier pour les demi-finales. Menée 1 set à 0 par la n°2 mondiale, la jeune Russe a réussi à retourner la situation pour s'imposer en trois manches (6-7, 6-4, 6-4) et 2 heures et demie. La conférence de presse de Sabalenka nous en apprendra probablement davantage, mais la Biélorusse a semblé en petite forme physique ce mercredi. Presque dès le début du match, elle a eu du mal à retrouver son souffle après les points très disputés. Elle a fait appel au médecin dans le 2e set pour tenter de trouver une solution, en vain. Mais il faut dire que la défense à toute épreuve d'Andreeva n'a pas arrangé les choses. La Russe, coachée par Conchita Martinez (finaliste de Roland-Garros en 2000, battue par Mary Pierce), a imposé un intense combat physique à Sabalenka qui a fini par céder sur la deuxième balle de match adverse. Encore sur un somptueux coup de défense de la teenager russe, un lob que la Biélorusse n'a même pas regardé retomber dans le court, tant elle se savait battue. En demi-finales, jeudi, Andreeva affrontera l'autre surprise du jour, l'Italienne Jasmine Paolini qui a battu Elena Rybakina, n°4 mondiale, plus tôt dans l'après-midi.
Sabalenka mal en point face à Andreeva en quarts de Roland-Garros ! C'est un 3e set décisif qui va maintenant faire la différence entre Aryna Sabalenka et Mirra Andreeva en quarts de finale de Roland-Garros. La n°2 mondiale a pris un meilleur départ (7-6) mais a semblé souffrir physiquement presque dès le début du match. Ayant du mal à retrouver son souffle après les points très accrochés, elle a fait appel au médecin pour tenter de retrouver sa meilleure forme. De l'autre côté du filet, la jeune Russe, 17 ans, a aussi grandement contribué à la fatigue avancée de la Biélorusse. Défendant à merveille, elle impose un combat physique de tous les instants. Tant et si bien qu'elle a fini par trouver la solution pour égaliser une manche partout (6-7, 6-4). La fin du match s'annonce donc particulièrement indécise.
Tsitsipas écœuré par Alcaraz : "Comme s'il y avait une poupée vaudou sur le court. Ce gamin est juste trop fort" A nouveau battu sans ménagement par Carlos Alcaraz, mardi soir, en quart de finale de Roland-Garros, Stefanos Tsitsipas est apparu complètement désabusé en conférence de presse d'après-match. Le Grec a eu la sensation d'aborder ce match en grande confiance et de proposer son meilleur tennis, mais il s'est senti complètement impuissant face au n°3 mondial. Il a fait l'éloge du tennis pratiqué par l'Espagnol, promettant également qu'il allait continuer à chercher des solutions. Stefanos Tsitsipas : "Il (Alcaraz) contrôle si bien la balle. Il a cette capacité à changer la direction si facilement. Il me rappelle un peu Novak (Djokovic) quand il joue. Dans la façon qu'il a de construire ses points, la manière qu'il a d'utiliser sa tête pour trouver des solutions tactiques, il a réponse à tout. J'ai eu la sensation de frapper de super coups, mais ses réponses étaient toujours meilleures que mes coups. Honnêtement, j'ai fait tout ce que je pouvais, mais ça n'a pas fonctionné. Je ne pouvais pas faire mieux. Je considère que ma qualité de balle est l'une des meilleures, mais à chaque fois que je joue contre Carlos, je trouve une qualité de frappe que je n'ai presque jamais vu contre mes autres adversaires. Ses coups sont longs, profonds, avec beaucoup d'effet et je ne suis jamais parvenu à trouver une bonne solution face à ça. Dans un sens, il me domine en termes de puissance, mais il est suffisamment patient pour le faire d'une manière intelligente. Je n'ai que très rarement ressenti ça face à d'autres joueurs. Ça se compte sur les doigts de la main, peut-être un ou deux. Je ne vais pas mentir, j'étais confiant (avant le match), peut-être même plus que d'habitude. Cela a pu me faire défaut par le passé, mais j'étais sûr de pouvoir proposer quelque chose de différent face à Carlos par rapport aux fois précédentes. Mais ce gamin est juste trop fort. Je dois juste passer cette barrière mentale. Mais aujourd'hui, c'est comme s'il y avait une poupée vaudou sur le court. Je n'étais pas en capacité de mettre la balle où je voulais, c'était juste incroyable."
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